Pingback: Hoshiko Yamane» collaboré avec les œuvres de piano le lac devient agité, et les ondulations continuent à se répandre comme l`écho d`une centaine de pensées, en méditant la profondeur du lac et en essayant de trouver une certaine fermeture dans son réservoir noirci. Aspirent à une fermeture qu`il ne peut pas atteindre, le piano ne semble pas se soucier de rien d`autre, si désespérée est-il dans une poursuite défaillante que de perdre la piste, et l`importance, d`autres choses. En dépit de cela, la musique n`est pas terne. Oui, une tristesse tourbillons dans ces motifs, collant comme de la colle au tissu des notes, sa partition de musique ruisselant de larmes au lieu de l`encre fraîche. Ce n`est pas un sentiment de sangsue, parasite, parce que les larmes ruisselant forment une partie vitale de sa personnalité modérée; la musique ne sonnerait pas la même chose. La tristesse est immédiate, et il pique, mais ce n`est que le mensonge de la terre, et la musique n`est pas défaitiste, même quand il semble être face à la défaite. Tout à fait le contraire, comme les cordes coupées à travers le piano plus sombre, encore en mesure de chanter leurs chants tranquilles de la rédemption, bien qu`ils soient joués dans une clé grise et enduit dans une bruine beau matin. Le pianiste et compositeur suédois est retourné à sa musique de piano en remuant doucement pour méditer sur les ondulations (motifs) que cette mélancolie jette sur les eaux. Sa musique douce et pastorale a une épine dans le côté, ainsi que dans son cœur, une de tristesse infinie (le sentiment est présent dans sa musique de piano depuis longtemps), mais ce n`est pas la fin de celui-ci. La musique trésors le passage des secondes en dépit de ses larmes, en regardant le sable dans le temporisateur et le vieillissement de ses cheveux et en arrivant à la conclusion qu`aucun renversement n`est possible. Et choisir de l`accepter. En regardant la musique, il peut être difficile de voir quelque chose au-delà d`une tête abaissée et, quand il parvient à soulever sa tête fatiguée, un aperçu rapide d`un élève teinté en noir obdurate. Les notes sont écrites en noir, aussi, et la musique reflète leur humeur.
La musique a subi une sorte de tragédie et ces modèles représentent un deuil, une digestion, et une guérison de toutes sortes, mais c`est un processus lent. Mais encore, il est capable de flottement ses ailes dans une série de descentes gracieuses et des mélodies tendres, quoique esquissé en noir et blanc. (James Catchpole).